Pas facile en arrivant à Agadir où nous avons passé quatre fois 6 mois de trouver l'inspiration. Plus de pagnes sur le marché, rien que des soieries, de superbes tissus, je je reonnais mais qui ne m'inspiraient guère.
J'ai essayé un autre style pour pouvoir occuper mes petites mains et voici les résultats.
Ce qu'on trouvait en abondance et à chaque coin de rues, c'étaient des vendeurs de bijouterie rococo comme la partie que j'ai utulisée au centre de ce tableau.
J'ai commandé l'encadrement en ferronerie sur mesure auprès d'un artisan.
Le bois de l'encadrement est du thuya d'Essaouira ou cèdre de l'Atlas, un très joli bois parfumé qui m'a inspirée pour réaliser ce petit ouvrage avec sa main de Fatima.
C'est un ami qui m'a appris que près du souk de Marrakech étaient installés des artisans qui recyclaient les pneus.
J'ai profité de notre seule et unique visite à Marrakech, ville que j'ai détestée, pour acheter cet encadrement pour lequel j'ai utilisé mes petits morceaux de soieries et une paire de babouches utilisées à l'origine comme porte-clé.
Par la suite j'ai fait du bénévolat auprès d'une institution d'Agadir dont je parlerai dans un autre article.
L'intérieur de notre maison je l'avais décoré de manière telle qu'elle me rappelait l'ambiance africaine de mes maisons précédentes. Vous pourrez la découvrir dans le billet
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